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Z. Tlemçani : quand la perfidie atteint son paroxysme

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Zied Tlemçani : L'apôtre de la virginité ne peut avoir un hymen défloréIl n’est pas à sa première et il ne sera, certainement, pas à sa dernière. L’enfant du club a, soigneusement, choisi le moment pour prêcher sa sainteté. Malheureusement pour lui, l’apôtre de la virginité ne peut avoir un hymen défloré.

Il y a une semaine, Zied Tlemçani n’avait plus la langue retenue. Il a ouvert le clapet de son haleine fétide dans un exercice de masturbation intellectuelle pour dresser un procès d’intention aussi sénile qu’ abject. A base de conjectures et de présomptions, monsieur le génie de tous les temps a fait montre d’une pyromanie sans égal. Il s’est montré, encore une fois, prêt à immoler toute morale pour jouir de sa passion de toujours : le pouvoir suprême. Une expression pure et simple de la mégalomanie de l’homme.

L’interview, elle même, n’apporte rien de nouveau à ce que notre Néron chuchotait, déjà, derrière les cloisons de son entourage privé et à ce qu’il soufflait sournoisement aux plumes grotesques qu’il « se payait » occasionnellement, histoire de ne pas se faire oublier. Mais cette fois, l’agression est publique, directe et dépourvue de tout rationnel.

Jadis, Descartes disait : « cogito, ergo sum » (je pense, donc je suis). Aujourd’hui, notre ami relativise cette philosophie en en ramenant l’équation au plus simple degré: J’insulte, donc je suis. Et tant pis pour les règles de l’art. L’essentiel c’est de profiter de cet espace de liberté totale créé par la révolution pour placer des assauts. Du moment que la victime, coupable ou pas, fait montre d’un flegme ahurissant.

Quels reproches fait-il au président de l’Espérance ? Au début, il accuse le bonhomme de népotisme professionnel. N’a-t-il pas fait pareil lorsqu’il régnait sur le parc B. Ensuite, il évalue les recrutements du président. Comme si les siens ont rapporté quelque chose à l’équipe. Enfin, il l’accuse de vouloir s’approprier l’Espérance. Quoi de plus débile. L’Espérance est une association nationale. Le jour où elle deviendra une entreprise privée, tout un chacun aura le droit d’y avoir des parts sous condition de payer le prix.

Néanmoins, elle restera, toujours, la propriété réelle et la fierté de son public. Et puis, que veut, réellement, notre ami Tlemçani ? Lui qui a, à ce que l’on sache, refusé de prêter main forte au club quand le besoin s’en ressentait. Il veut présider ? Je ne crois pas qu’il en a le calibre, financièrement du moins. Il est passé par là et nous avons tous vu le résultat de sa politique de régénération appliquée. Trois années de souffrance et de ridicule. Alors, autant pour lui s’abstenir de se présenter comme le Jésus salvateur de l’Espérance.

Notre club va bien. Il passe, comme toute autre entité, par des hauts et des bas mais il progresse. Certes, il peut bien mieux faire. Mais il fait, déjà, mieux que sous l’ère de notre Néron. Alors, sales gueules taisez-vous. Et puis nous rappellerons à notre ami Zied que ce genre de parodies révolutionnaires ne passera que le jour où, sur Tunis, il y aura un épitaphe portant l’inscription : Supporters honnêtes de l’Espérance Sportive de Tunis.

A bon entendeur … 

Iheb Ben Salem

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