Absurde, il n’y a que toi qui soit pur !
Quand les mauvais perdants deviennent des perdants lâches
Nous n’avons jamais osé penser qu’un échec pouvait conduire son auteur à autant de haine. Nous n’avons jamais imaginé que la rivalité pouvait atteindre un palier aussi bas, aussi vil et que la raison pouvait tellement s’estomper au point de laisser place à autant de virulence et d’agressivité, poussée par la mauvaise foi.
La haine plonge la raison dans une léthargique sieste, surtout par ces temps de canicule lorsque le soleil de plomb paralyse les neurones et réveille l’hérésie.
Ce malheureux et accablant constat est le résumé succinct d’une attitude aussi basse que piteuse d’un groupe de dirigeants du club étoilé qui ont juré, cette année, de tout faire pour endormir la raison. Ils se sont portés volontaires pour animer cette particulière saison par toutes les monstruosités, ignorant au passage que le sommeil de la raison engendre des monstres. Que de coups bas, que de pleurnicheries, que de protestations et que de bassesses nous ont-ils gratifiés cette année.
Des déclarations qui terniront, à jamais, l’image de l’étoile
La dernière illustration de cette irascible attitude est venue de la bouche puante de Chokri Laâmiri, porte drapeau d’un clan mafieux et véreux, qui en toute impunité et avec un culot inégalable, qualifie le 24e sacre de l’Espérance sportive de Tunis d’impur, alors que son équipe venait d’essuyer une mémorable raclée (4-1) par un Club Sportif Sfaxien révolté par le cynisme étoilé. La note est on ne peut plus évidente, la bande à Kammoun venait là de payer le tribu de leur incompétence maladroitement camouflée par des alibis aussi débiles que farfelus.
Quoi de plus monstrueux, de plus haineux, de plus vil que cette déclaration! Chokri Laâmiri aura été, cette année, la honte du football tunisien. Il aura marqué cette saison par une bassesse, à laquelle semble adhérer le clan étoilé, tant sa complicité dans cette diabolique mise en scène fut totale le long du parcours. Un autre « Bad Loser » a pris part à la mascarade, Adel Chedly un vieux joueur n’ayant plus de place sur la scène européenne est venu monnayer ses services là où, seuls, des dupes l’accepteraient. Il aura été cette année l’exemple parfait du joueur indiscipliné, voire vulgaire, à l’encontre de ses adversaires, des arbitres et même de son staff technique. Le vieux chedly, ne pouvant contenir sa frustration face à la suprématie Sang et Or, nous a gratifié d’une déclaration aussi lâche que débile qui dénote avant tout du niveau intellectuel et moral de son auteur. Le vieux retraité, venu biner la caisse des niais, reproche carrément aux équipes de la ligueI de tenir tête à son équipe sans parvenir à rivaliser avec l’Espérance. Franchement, face à pareil délire le vieillard ferait mieux d’aller se faire soigner sinon il risque de devenir, en fin de carrière, la risée de tout le pays.
Le manipulateur qui occulte ses sales vérités
L’histoire nous rappellera, sans relâche, que les pratiques douteuses ont été le sport favori de nos pauvres rivaux depuis des lustres. Déjà, en 2001, raconte l’ex président de la fédération Khaled Sancho, le « club phare » du sahel illuminait la scène d’une lugubre influence présidentielle pour s’assurer les services de ses joueurs suspendus en vue de la finale de coupe de Tunisie à jouer, alors, face au CSHL et dont le sort fut divinement à l’avantage des banlieusards. Cette année, les dirigeants étoilés n’ont pas dérogé à la règle. L’épisode de l’ESZ prouve, si besoin, une énième machination visant à rapporter, illicitement, la victoire aux étoilés qui s’est avérée en tant que telle puisque les 3 points assurés, les sudistes se sont vus privés de leur victoire sur tapis face à l’ASG. Rocambolesque ! Pire encore, Baâboura et Mnafeg « coupables » d’avoir défendus crânement les chances de leur équipe, l’EGSG, en ont vu de toutes les couleurs. Baâboura fut « par hasard » inculpé, quelques jours plus tard, de détention de drogue. Re-rocambolesque ! Qui a dit « quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups » ?
Vous croyez ainsi atteindre l’Espérance? sottises!
L’Espérance Sportive de Tunis sera éternellement votre pire cauchemar. Elle vous renverra, autant que cela sera nécessaire, à vos miroirs moites pour vous montrer votre vrai visage, celui de la laideur et de la lâcheté. Elle sera là pour vous montrer les piètres vérités d’un club qui ne vit que dans l’ombre de son maître absolu.
L’Espérance vous renverra à vos misérables statistiques, pour vous rappeler que l’étoile qui se dandine comme un vieux paon de son orpheline victoire de ces dernières années sur le triple champion, a laissé des plumes à sousse même, contre l’Olympique de Béja, puis face au Club Sportif d’Hammam-lif, et qu’ensuite la pauvre étoile a bu le calice jusqu’à la lie face au Club Africain, au Stade Tunisien, et tout dernièrement contre le Club Sportif Sfaxien. Un parcours de champions dites-vous? Ah oui au fait, c’est la faute à l’Espérance. Pauvres paranoïaques !
Messieurs de l’étoile….errante, vous aurez certainement le temps de vous refaire une santé suite à cette perpétuelle déception. Mais l’éternité, toute l’éternité ne vous suffira pas pour vous laver, car l’absurde pense que seul, lui, est pur.