«C’était trop flagrant !» C’est certainement ce qu’a dit Hayatou au mafieux Moise Katumbi lors des macabres discussions clandestines pour régler l’affaire Janvier Bessala à la manière de Koukou. Le Tout Pourri Mazembe et son président, repris de la justice africaine, n’en revenaient pas. C’était inadmissible à leurs yeux que les pots de vin généreusement versés ici et là sur le continent africain ne permettent pas, pour une fois, d’usurper un nouveau titre. Du coup, ils se lancent dans des justifications houleuses de leurs abjects méfaits. La dernière trouvaille des corrompus : c’est l’Espérance Sportive de Tunis qui a causé leur perte. Le site officiel des corrompus vient en effet de nous pendre un article comique titré «Le WAC induit en erreur par un grossier mensonge de l’Espérance de Tunis !», évidemment quand on est tricheur, on est avant tout sans scrupule.
Le torchon des corrompus commence par insulter l’intelligence de nos frères marocains en insinuant qu’ils se sont laissés induire en erreur par l’Espérance. On voudrait juste rappeler aux corrompus du tout pourri que le Maroc, grand pays du football, a participé 4 fois à la phase finale de la coupe du monde depuis 1970, qu’il a été en 1/8è de finale en 1986 contrairement à la République «démocratique» du Congo dont l’orpheline participation date de 1974 sous le nom de Zaïre. Un pays dont l’histoire du football est si riche en gloires et en grands hommes est certainement mieux loti en compétences juridiques pour discerner la vérité du mensonge et défendre ses droits que ne laisse penser la bêtise des pourris.
Le torchon annonce ensuite : «une équipe tunisoise incapable de battre le TP Mazembé en finale retour de la Champions League 2010 et contrainte à terminer le match (comme à l’aller) à dix sur son propre terrain après l’exclusion d’un joueur cracheur ?».
Décidemment quand on est tout pourris, on se permet les plus abjectes des manipulations. L’Espérance n’a pas battu cette «équipe» en finale retour de la Champions League 2010 pour la simple et unique raison qu’elle était dans l’obligation de prendre des risques tactiques considérables pour remonter 5 buts honteusement offerts aux pourris par la tare de l’arbitrage africain Koukou. La preuve, dans le match des groupes devant déterminer le leader du groupe, les pourris se sont vus infliger une leçon de football et un cinglant 3-0 à Radès, sans l’aide d’un arbitre «Kokounien». Faut-il rappeler que dans leur vaine quête de ce leadership du groupe A, les pourris n’ont pas hésité à fournir du matériel sportif et verser 50 Milles dollars au Dynamos du Zimbabwe pour battre l’Espérance lors de l’ultime tour des matchs des poules. Cette manœuvre caractérise merveilleusement les agissements systématiques des pourris, et ils ne peuvent la démentir car les dirigeants zimbabwéens l’ont expressément déclaré à l’époque. Quant à cette histoire de joueur cracheur, au moins la grande institution sportive et civile qu’est l’Espérance a banni ce joueur de ses rangs, contrairement aux pourris dont deux joueurs ont sauvagement agressé l’arbitre d’une rencontre amicale et qui, avaient pourtant continué malgré tout à porter leurs maillots.
L’article passe évidemment sous silence les innombrables scandales de corruption qui ont éclaboussé les titres honteusement remportés par le Tout Pourri Mazembé, et se contente de rappeler la main de Michael Eneramo lors de la demi-finale contre El Ahly (Égypte), oubliant par la même occasion que ce n’était que justice faite après la flagrante main du Ahlaoui Fadhl au match aller.
Ils enchainent ensuite par une justification abracadabrantesque de leur fraude dans l’affaire Bessala. D’après les pourris, tant que le joueur a déserté les entrainements et laissé son club sans nouvelles pendant 10 mois, il est libre de tout engagement !!! En voilà une nouvelle «messieurs» qui osent s’ériger en conseillés juridiques à nos frères du Wydad. Après les Marocains, vint le tour des Tanzaniens. Les pourris passent à une autre dimension de la bêtise en affirmant ni plus ni moins que c’est notre club qui a rédigé la plainte de «Simba de Tanzanie» !!! Imaginez chers lecteurs, quel point de mégalomanie idiote ont atteint les pourris pour insinuer lâchement que les Tanzaniens sont inaptes même à rédiger une réserve en bonne et due forme contre les magouilles antisportives du Tout Pourri Mazembé.
La mascarade ne s’arrête pas là. Les pourris, en parfaits crétins, finissent par transcrire l’un des articles du contrat liant Janvier à l’Espérance comme argument de défense de leurs magouilles sans bien sûr avoir le minimum d’intellect pour savoir que c’est justement cet article qui les incrimine. Je vous cite l’extrait :
A-t-on informé le WAC que l’article 9 du contrat entre l’Espérance et BESALA stipule : «Sans préjudice des indemnités pouvant être réclamées par le club, le présent contrat sera résilié de plein droit sans qu’il n y ait besoin de recourir a une quelconque formalité en cas d’inexécution ?»
J’ai exprès mis en gras la première phrase de l’article, pour éduquer l’auteur du torchon en lui expliquant une seule information ; l’expression «sans préjudice» veut dire «sans renoncer à», je l’invite ensuite à relire l’article, peut être que sa petite cervelle lui révélera le tort qu’il a causé à la stratégie de défense du Tout Pourri Mazembé dans cette affaire.
Le Tout Pourris Mazembé se sait parfaitement coupable de tricherie, il s’obstine pourtant à défendre ses magouilles, c’est ce qu’on appelle en droit «se prévaloir de sa propre turpitude».
Le torchon se termine enfin par une leçon de morale (quand on est si pourri, il fallait oser !) à nos frères du Wydad, leur reprochant de prendre l’Espérance comme exemple. Je dis aux auteurs que l’histoire de la légende Sang et Or est un modèle pour tous les clubs du continent. Que nous même serons fiers de prendre le Wydad ou tout autre vrai club sportif africain comme modèle, et qu’entre temps, les scandales à répétition du tout pourri montreront à tout le monde quel modèle il ne faut surtout pas suivre.
À bon entendeur !
