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L'Espérance toujours jalousée, jamais égalée

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Crédit photo : http://www.voyagevirtuel.infoEspérance, la grandeur par excellence

La campagne de dénigrement dont est victime l’Espérance Sportive de Tunis n’est pas une nouveauté. Cela date de la nuit des temps. Le doyen des clubs exaspère ses rivaux par son audace, épate par son calme et décourage plus d’un par sa persévérance et sa stabilité.

Que reste-t-il donc à ces malintentionnés? Quels peuvent être leurs moyens pour créer la sensation et prouver le contraire de ce qui est, pourtant, vrai? Sinon dénigrer, médire et attaquer le talent de cette grande institution.

Les temps changent, l’Espérance est la même

Ce qu’il y a de remarquable dans la légende Espérance, c’est cette perpétuelle remise en question des moyens qu’elle se donne, c’est cette inlassable quête d’un renouveau, c’est cette inimitable recherche du meilleur, du top. Cela, les impuissants rivaux de l’Espérance ne le savent que trop bien. Leur problème est qu’ils ne peuvent accéder à cette dynamique. Elle nécessite des hommes, des vrais, humbles et dévoués corps et âme à leur club. Même, parfois, sous le règne de certains présidents qui, malgré leur bonne volonté, n’ont pas connu autant de sacres que d’autres, les Sang et Or étaient jalousés, enviés, car ils regroupaient l’élite, la crème des hommes. 

Les principes de cette immense famille ne changeront pas d’une once et ce, quelles que soient les circonstances: un Espérantiste est, avant tout, un homme fier de son appartenance. Son rôle était, est et sera toujours de porter encore plus haut le club de ses amours, de sa passion. Car c’est l’essence même de la pérennité, de l’éternelle existence et de la grandeur. Le Sang et Or ne construit pas sa renommée dans l’artificiel, en usant des moyens insipides dans les arcanes de la polémique et du sensationnel. L’Espérantiste est un compétiteur qui, lorsqu’il perd une bataille, il repart encore plus fort pour gagner la guerre, avec mérite et bravoure.

L’ancien disque rayé, le nouveau tube

Durant des années, de feu Chedly Zouiten à Slim Chiboub, en passant par feu Hassen Belkhoja, l’Espérance était taxée  » d’équipe intouchable ». Ses impuissants rivaux arguaient leurs déboires par la proximité de ses dirigeants du cercle restreint du pouvoir, depuis feu Bourguiba (longtemps président d’honneur du club) à une période pas très lointaine et dire que son successeur est plutôt Étoilé (son intervention avérée lors de l’épisode « danse africaine » ne fait que le confirmer) et que sa belle-famille « régnante » est notoirement clubiste. Mieux, quand le Club Africain (CA) réalise ses meilleures performances nationales avec à sa tête le ministre Lasram ou quand l’Étoile Sportive du Sahel (ESS) se réveille, entre autres, avec l’ancien ministre Karoui, tout est beau dans le meilleur des mondes, s’agissant des seuls hommes honnêtes au pouvoir (Sic !).

Ce disque, tellement ressassé, est devenu usé, ébréché, rayé. Les incapables le sortaient après chaque consécration des Sang et Or, dénigrant le mérite sportif d’un club pourtant largement représenté par une élite de sportifs et d’athlètes à toutes les sélections et dans toutes les catégories et sections. L’Espérance est de tout temps le plus grand pourvoyeur des équipes nationales. La liste est longue et les exemples ne manquent pas. Cela n’intéressait point les chasseurs en eau trouble! Ils ne se lassaient pas d’occulter les vraies raisons d’une réussite sans égal.

Les temps changent, les détracteurs sont les mêmes

Depuis l’avènement de Zouhir en 2005, puis celui de Meddeb en 2007, le doyen des clubs a remporté en 6 ans, 6 titres nationaux répartis entre 3 championnats et 3 coupes, dont un phénoménal doublé au terme de l’exercice 2005-2006. Pourtant ce ne fut pas facile à réaliser tellement la paire Zouhir-Ben Yahia était critiquée, alors que les fameux détracteurs s’attendaient à voir les Sang et Or au bord du gouffre. C’était sans compter sur la somptuosité de l’Espérance. Ce fut une preuve de plus, et tant d’autres par la suite, que le club de Bab Souika est l’image même de la supériorité et du mérite.

Aujourd’hui, les Sang et Or sont toujours à leur place, imperturbables. Ils sont et seront toujours aux premières loges, n’en déplaise à qui veut vivre de sa pathétique contre-vérité. Et au delà des titres, de la consécration finale, et au delà des noms qui la représentent, l’Espérance continue sur sa lancée, dans la même lignée. Celle du travail, de la témérité et de la culture des victoires. En face, la « tarajjiphobie » ne s’arrêtera point, car les problèmes de ces pseudo-présidents, les maux de ces pseudo-journalistes et le malaise de ces pseudo-supporters adverses perdureront … en chœur, tant que l’Espérance incarnera la grandeur par excellence.

Ahmed Mami
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